Cette série de photographies de Joan Guerrero retraitent la vie des Indiens quechua de l'Équateur et elle est intitulée "Lamento borincano" qui fait référence à un boléro qui raconte le chemin à la ville d'un pauvre paysan avec l'expectation joyeuse de vendre sa marchandise et sa déception et retour au village avec les mains vides. La réalité dure que Guerrero décrit dans ses photographies reste enveloppée par la qualité des gris et les compositions bien mesurées. Cependant, il prévaut la critique, la révolte et le non-conformisme d'un vieux guerrier qui ne veut pas se rendre. Comme a dit lui même "… le pire qui pourrait me passer serait qu'un banquier m'achetait une photo pour la pendre du vestibule d'une banque. Cela signifierait que je n'ai pas su m'exprimer".
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